Les méchants Comic Relief sont des méchants avec une présence comique dans une histoire plus ou moins sérieuse; ils sont mutuellement exclusifs et exactement aux antipodes des Game Changers. Ces méchants sont généralement vus dans les séries télévisées car ils deviennent parfois plus méchants, selon l'épisode. En particulier, si un méchant est malicieux, incompétent ou idiot, il est probable qu'il en fasse partie (par exemple, Condiment King et Tabatha).
Il est presque impossible pour les grands méchants ou les méchants suprêmes d'être des Comic Reliefs car si un antagoniste principal est comique, alors par défaut la plupart des autres éléments de l'histoire le seront aussi et ce trope ne peut s'appliquer. La seule exception serait si une histoire principalement axée sur le réalisme ou le drame et qui, inexplicablement, comporte un méchant comique ou caricatural qui est le seul antagoniste récurrent mais sans rapport avec le reste de l'intrigue (par exemple Aku).
Les Comic Reliefs peuvent et ont tendance à avoir leurs moments les plus menaçants (comme lorsque leurs véritables intentions sont révélées, par exemple GLaDOS, Handsome Jack et Handsome Jack AI) mais leur côté comique doit être plus présent et/ou plus mémorable.
Les méchants qui sont le Mal à l'état pur ne peuvent JAMAIS être qualifiés car leurs actes sont toujours pris au sérieux et/ou sont effrayants par rapport aux autres. Cela s'applique même s'ils semblent être drôles car leur humour est généralement sadique et les rend encore plus menaçants (par exemple, Bill Cipher, Percival C. McLeach, Glitchtrap, It, Empereur Palpatine, Bryan Fury, Kefka Palazzo, la plupart des versions du Joker, Dimentio, Freddy Krueger, Chucky, Horned King, XANA, Mr. O'Bloat, the Kurgan, Hadrian, Dark Danny, Cioccolata, AM, Ares, Il Carnefice, Dio Brando, Zhan Tiri, Scar, PAMA, etc.), tandis que l'humour d'un Comic Relief est véritablement joué pour les rendre moins menaçants et peut même les racheter (par exemple Cédric le Sorcier). Même si un Mal pur a vraiment des moments comiques (ex: Syndrome, Rastapopoulos...), cela n'enlève rien à sa méchanceté car les autres personnages le prennent toujours au sérieux et entrerait plutôt dans les méchants de comédie.
Les méchants de comédie ne peuvent jamais être qualifiés, car si un méchant est un Comic Relief, cela signifie que l'histoire est très sérieuse, mais ce méchant éclaire l'histoire alors que les méchants comiques sont dans une histoire à but comique.
- La seule exception est si l'histoire a également un Game Changer et que le Comic Relief est destiné à éclairer la sombre méchanceté du changeur de jeu (par exemple, Katsu Kimura à Killian).
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