Le colonel Farès, aussi connu sous son nom, Farès, est le principal antagoniste de l'un des films français les plus connus, Les Aventures de Rabbi Jacob.
C'est le colonel de la police secrète du pays de Slimane, un sémillant, qu'il chasse sans pitié pour le juger et l'exécuter.
Il a été joué par Renzo Montagnani.
Personnalité[]
Farès est un stalker impitoyable, intimidateur, et obsédé. Il ne pense à rien d'autre que de traquer le sémillant Slimane afin de le capturer et le juger pour son sort. Il semble aimer intimider les gens, comme le montre les fois où il montre toujours le signe de couper avec son pouce. Il ment toujours lorsqu'on lui demande si c'est bien le commissaire de police, qu'il confirme en disant toujours "oui". Il est montré qu'il peut avoir un bon fond lorsqu'il s'excuse auprès de Slimane lorsqu'il apprend qu'il a réussi à devenir président de son pays, et que la France, fort intéressée par le pétrole que l'État de Slimane a pu fournir, ainsi que par les Concorde et les Alouette qu’elle a pu lui vendre, sont désormais toutes à la disposition du président Slimane.
Biographie[]
Farès est vu pour la première fois, lorsqu'il traque le sémillant Mohammed Larbi Slimane jusqu'au café "Les Deux Magots", alors que celui-ci mène une révolution dans un pays arabe (non nommé) du tiers-monde. Au café, Slimane reçoit un appel téléphonique, et pense qu'il s'agit d'un rendez-vous d'un camarade dissident. Cependant, il apprend qu'il téléphone à un membre de la police secrète de son pays, et que Farès le traque au café. Ce dernier s'échappe du café en prenant un couteau de cuisine au passage, en sortant par une fenêtre des toilettes, mais il est ensuite assommé par un membre à l'extérieur, enfermé dans un coffre, et emmené à l'usine de chewing-gum Le Yankee pour un interrogatoire avec Farès.
A l'usine Le Yankee, Farès décide de juger Slimane en le giflant avant de l’exécuter. Cependant, il est distrait par un appel de Pivert qui se trouve lui aussi à l'usine, qui croit téléphoner à la police. Farès lui ment en confirmant qu'il s'agit bien de la police, et Pivert lui dit où il est et où précisément (dans le bureau de l'usine), et Farès et ses sbires laissent Slimane sous surveillance légère pour aller s'occuper de Pivert. Cependant, comme Slimane est ligoté à une chaise, il parvient à sortir le couteau de cuisine qu'il a volé, et parvient à s'échapper, entraînant malgré lui dans sa cavale un Victor Pivert tombé dans la cuve de gomme liquide (chewing-gum à la chlorophylle) en fuyant Farès et son gang. Pris en poursuite par ces derniers ainsi que par la police française qui, accompagnée par Salomon (le chauffeur de Pivert), croit l’avoir vu abattre deux hommes de main de Farès alors que c'était Slimane qui tirait sur eux, Pivert est tenu en joue par Slimane, et se rendent tous les deux à l’aéroport d’Orly. Slimane entend regagner son pays avant le soir avec son otage, assuré d'en devenir le Premier Ministre s’il y parvient.
Plus tard, alors que Pivert et Slimane s'arrêtent pour faire l'essence, Farès s’arrête par hasard à la même station, et les croisent. Alors que Pivert discute avec deux motards, Slimane prends le volant et sort de la station avec Pivert. Farès se lance donc à leur poursuite alors que le pompiste n'a pas encore terminé son office, et la voiture de Farès et son gang accrochée à la pompe se disloque dès la première accélération, ce qui les ralentissent.
En arrivant à Orly, Pivert tente vainement de s'échapper de l'aéroport, mais il finit par entendre la voix de sa femme qui l'appelle depuis un microphone du bureau des renseignements, et tente de s'y rendre. Cependant, Farès et ses sbires entrent dans l'aéroport et aperçoivent Pivert, mais ce dernier s'échappe avec Slimane. Alors que Slimane et Pivert sont toujours poursuivis par Farès et son gang, ils se rendent aux toilettes et y découvrent deux rabbins hassidiques à qui ils volent leurs costumes et les ligotent, ce qui permet à Farès et à ses hommes de pas les reconnaître. Mais lorsque Pivert et Slimane arrivent dans le hall de l’aérogare, ils sont pris pour le vénérable Rabbi Jacob et son assistant, par Tsippé Schmoll dite « la Mamé », belle-sœur de Rabbi Jacob, à la vue et l’ouïe quelque peu défaillantes, et le reste de la famille. Pendant ce temps, Farès entend Germaine (la femme de Pivert) parlé de Pivert au bureau des renseignements, ce qui amène à ce que Farès la kidnappe avec ses hommes.
Plus tard, Pivert et emmené avec Slimane à la rue des Rosiers, au cœur du vieux quartier juif de Paris avec ses commerces juifs aux devantures calligraphiées en français et en yiddish, ou tout le monde le prends pour le vrai Rabbi Jacob avec son associé. Un moment, Pivert appelle sa femme pour lui faire savoir qu’il se cache chez des amis juifs (au grand étonnement de son épouse) à l’Étoile de Kiev. Cependant, elles est séquestrée par Farès dans son propre cabinet et sous la menace d’une fraiseuse, elle est contrainte de passer l’appareil au « commissaire » qui n’a aucun mal à obtenir d’un Pivert décidément bien naïf les informations dont il a besoin. Farès est plus tard vu en train de quitter le cabinet de Germaine alors qu'Antoinette (la fille de Germaine et Pivert), furieuse de ne pas voir ses parents arriver, s’est rendue à l’appartement de sa mère et l’a délivrée, après quoi, Germaine a immédiatement appelé Salomon pour le prévenir de l’arrivée de Farès à la synagogue où Pivert bénissait David avec Slimane. Salomon s’est alors adressé aux orants en hébreu pour leur demander d’arrêter les poursuivants, se rendant compte, mais trop tard, qu’il s’agissait du commissaire Andréani (qui est informé du subterfuge de Pivert pour avoir tué deux hommes de Farès).
Plus tard, Pivert et Slimane quitte la rue des Rosiers pour se rendre au mariage d'Antoinette à temps. Apercevant la Citroën (la voiture du chauffeur de Pivert), Pivert et Slimane se ruent sur les voleurs qui se trouvent naturellement être Farès et ses hommes. Peu avant, ceux-ci ont capturé les « vrais » Rabbi Jacob et Samuel devant l’Étoile de Kiev, les ayant évidemment pris pour Pivert et Slimane. Le canon du revolver sur la tempe, Slimane prie Farès de laisser la vie sauve aux otages, assurant qu’ils ne parleront pas. Pivert abonde dans ce sens, le suppliant de le laisser assister au mariage de sa fille, quitte à l’assassiner plus tard avec une lettre piégée. Tandis qu’à grands gestes, il mime l’explosion de ladite lettre, le téléphone automobile sonne pour annoncer à Slimane, que sa révolution ayant réussi à 13 heures GMT, il est désormais président de son pays et que la France, fort intéressée par le pétrole que cet État peut fournir, ainsi que par les Concorde et les Alouette qu’elle peut lui vendre, est toute à sa disposition. Slimane triomphe et Farès, défait, supplie la clémence du nouveau président. Et ils se rendent tous à la cathédrale Saint-Louis-des-Invalides où la cérémonie de mariage était sur le point d’être annulée.
Au mariage, tous se finit bien, mais on ne s'est pas ensuite ce qui arrive à Farès. Il est probablement allé en prison avec ses hommes malgré le fait de s'être racheté de ses méfaits.
Galerie[]

Farès au téléphone.

Farès observant Pivert avec ses hommes dans le bureau de l'usine Le Yankee.