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Jean-François de Morangias est l'antagoniste central du film d'action et d'horreur français Le Pacte des loups de 2001.

Il est joué par Vincent Cassel, qui a également joué L'Atout dans Jason Bourne, Kirill Semyonovich dans Les Promesses de l'ombre, Philippe LaRoche dans Dérapage et interprété Monsieur des Bois dans Shrek.

Personnalité[]

Jean-François se fait passer pour un aristocrate faible et quelque peu efféminé, mais ce n'est que pour cacher sa vraie nature. C'est un membre brutal et impitoyable du Pacte des loups, et le propriétaire de la Bête du Gévaudan dont il a abusé pour en faire une tueuse féroce.

Un autre aspect de sa personnalité est l'engouement incestueux et tordu qu'il éprouve pour sa sœur Marianne. Il est d'abord en conflit avec elle et tente de la réprimer, mais choisit finalement de l'embrasser, allant même jusqu'à la violer lorsqu'elle refuse de le faire. Cela montre qu'il ne se soucie pas vraiment de sa sœur. Il n'est pas non plus vraiment loyal envers le pacte, puisqu'il est prêt à l'abandonner pour partir avec Marianne en Amérique.

Biographie[]

C'est un aristocrate, le fils du comte Morangias, un chasseur, ainsi que le frère de Marianne.

Le chevalier Grégoire de Fronsac (principal protagoniste du film) arrive en 1765 au château de Saint-Alban, accompagné de Mani, un Iroquois qu'il a rencontré lors de la bataille de Trois-Rivières au Canada. Envoyés par Buffon, l'intendant du Jardin du Roi, les deux hommes viennent élucider le mystère de la Bête du Gévaudan qui terrorise la région depuis plus d'un an. Guidé par Thomas d'Apcher, petit-fils du marquis de Saint-Alban, le chevalier est présenté à la noblesse locale, dont Jean-François.

Cependant, les mois passent. Fronsac accumule de nombreux indices troublants qui impliquent l'intervention d'une main humaine dans les meurtres, comme un croc en fer, mais l'enquête piétine. Les relations qu'il entretient avec la noblesse locale, en particulier avec Jean-François, sont tendues. Mani est convaincu de l'innocence des loups que les paysans abattent dans l'espoir de tuer le monstre redouté.

Après les premières neiges et devant l'incapacité des soldats à tuer l'animal, le roi Louis XV envoie son propre lieutenant de chasse en Gévaudan. Arrivé sur place, ce dernier tue un grand loup et demande à Fronsac de le naturaliser afin que l'animal ressemble aux descriptions de la Bête. Fronsac découvre bientôt que cette mascarade a été ordonnée par le roi lui-même pour mettre fin à cette affaire qui met en cause son pouvoir souverain. Le faux monstre est exposé à Paris. Officiellement, sur décision du Roi, la Bête du Gévaudan est morte. En remerciement de son silence, le Chevalier de Fronsac est autorisé à partir pour les comptoirs du Sénégal.

Mais le massacre dans la province du Gévaudan se poursuit, dans l'indifférence générale. Fronsac est averti de cette situation alarmante et supplié de reprendre la chasse, cette fois à la manière mystique de Mani. Le chevalier retourne en Gévaudan pour revoir Marianne, qui est chez sa nourrice. Mais la Bête, guidée par un habilleur masqué, attaque la maison. Fronsac, Mani et le marquis mènent alors une ultime expédition pour tuer le monstre. Mani, invoquant les pouvoirs de la nature dans une sorte de rituel chamanique, tend un piège à la Bête. Grièvement blessée, elle parvient cependant à s'échapper et à rejoindre son repaire. Mani découvre une arène aménagée pour utiliser la Bête comme chien de guerre. Il est alors attaqué et tué d'une balle d'argent par le maître des bêtes, et son corps est jeté dans une clairière.

En faisant la toilette mortuaire de Mani, Fronsac découvre cette balle, qu'il sait appartenir à l'armement de Jean-François de Morangias : il comprend que c'est lui qui dirige la Bête et décide d'organiser sa vengeance. Mais après avoir incinéré son frère de sang, le chevalier est arrêté.

Jean-François viole sa sœur Marianne après que celle-ci a découvert son secret : il est le maître des fauves masqué. Il est également membre du Pacte des loups, un groupe de fanatiques religieux dirigé par le prêtre local Henri Sardis qui tente de déstabiliser le Roi, coupable à leurs yeux d'être trop tolérant envers les philosophes des Lumières, en utilisant la Bête comme signe de la colère de Dieu. Cette organisation est composée de l'aristocratie locale. Lors d'une réunion du Pacte dans les ruines d'une ancienne abbaye, Fronsac réapparaît et, au cours d'un combat acharné, arrête les criminels avec l'aide du capitaine Duhamel. Jean-François affronte Grégoire à l'aide de son épée-fouet, mais est tué, vengeant ainsi la mort de Mani.

Il est révélé que la Bête du Gévaudan est un lion d'Afrique brutalement élevé par Jean-François, que Fronsac tue par pitié.

Galerie[]

Jean-Fran ois 1
Jean francis
Jean-François avec la Bête.

Jean-François avec la Bête.

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